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Procès gagnés edit

  • Maison d'Édition de TF1 : TGI de Nanterre, jugement en date du 17/11/1995 condamnation à un encart judiciaire en 4° de couverture;
  • journal l'Humanité : TGI de Bobigny, jugement en date du 10/12/1999 ;
  • Radio France : TGI et Cour d'Appel de Paris, jugements en date du 27/06/2000 et 31/07/2000 ;
  • France 3 : TGI et Cour d'appel de Paris, jugements en date du 2/10/2001 et du 20/03/2002 ;

Procès en cours edit

  • Après avoir été amnistié Jean-Pierre Brard, auteur des rapports parlementaires, la justice a rejetté en appel ce jugement et renvoyé en correctionnelle ledit député pour ses propos sur LCI le 5 septembre 2001, selon l'ordonnance du TGI de Paris en date du 21/02/2003 ;

Prises de position scientifiques edit

Certains scientifiques prennent position en faveur du Mandarom.

Le professeur Thimothy Miller de l'Université du Kansas atteste « n'avoir pas vu le moindre élément à l'effet que ce mouvement présente un quelconque danger pour le public ou pour ses membres propres ». Ces propos sont confirmés par un ethnologue de Montpellier, Maurice Duval, qui a étudié le mouvement plusieurs mois, passant deux jours par semaine au sein de la communauté et qui déclare (interview de Marc Medevielle dans le Midi Libre du 23 mars 1998) :

  • « Ils ont une éthique de vie, un rapport à l'autre tout à fait respectable. »
  • « Le mot "secte" me gêne dans la mesure où il crée l'amalgame entre des groupes criminels comme le Temple Solaire et un mouvement mystique tel que m'apparaît le Mandarom. »
  • « Cet amalgame, c'est la tirelire de certains médias ; on joue avec la peur et ça se vend bien. »

Dr Gregory Baum, théologien et professeur à l'Université McGill de Montréal s'exprime en ces termes: "Cette communauté pacifique et contemplative a été la victime de l'hystérie des mouvements anti-sectes" (...) "la France de l'après Révolution a hérité d'une tradition rationaliste qui revendique la validité universelle, un legs intellectuel qui laisse peu de place au pluralisme culturel et religieux."

Enfin, Maurice Duval, ethnologue qui s'est immergé pendant quatre ans parmi les adeptes du Mandarom, a publié en 2002 un livre sur son expérience: Un ethnologue au Mandarom. Enquête à l'intérieur d'une "secte" (Paris, Presses Universitaires de France). Dans des interviews il déclare notamment ceci: "J'ai vu l'essentiel de ce qui se passe au Mandarom, car personne ne peut tricher pendant quatre années. J'ai constaté qu'il ne s'y passe rien de dangereux" (cité par L'Express du 4 avril 2002 [1]). "A ma connaissance, il n'y a pas d'entrave au droit au sein du Mandarom" ... "Les enfants ? Il n'y a pas d'enfants au Mandarom." ... "La mission parlementaire c'est complètement bidon. Il faut envoyer des chercheurs et ne pas se baser uniquement sur les rapports des RG." (cité par Le Figaro du 24 Janvier 2002 [2])

Maurice Duval soutient que l'opinion générale en défaveur du Mandarom n'est pas fondée sur des faits, et qu'elle repose plutôt sur un réflexe de refus de l'inconnu et de l'inhabituel ("il existe un religieusement correct et un religieusement incorrect"), et sur la pression sociale qui rend difficile la critique de la pensée dominante, même dans le monde scientifique.

Liens internes edit

Liens externes edit

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